lundi, octobre 09, 2006

Résistez à l'envie de grignoter

Si vous êtes comme la majorité des femmes, vous devez sûrement, à l’occasion, avoir des rages folles de chocolat, de pizza, de chips, etc. Ces fringales peuvent sembler incontrôlables, mais, la plupart du temps, elles le sont. Ces 10 trucs combinés à un peu de bonne volonté vous aideront sûrement à calmer vos envies de «cochonneries».
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1. Tout d’abord, assurez-vous de bien manger trois repas santé par jour. Vous devez ABSOLUMENT déjeuner, dîner et souper. Ne sautez pas de repas en pensant perdre du poids… C’est probablement le contraire qui arrivera lorsqu’une fois affamée vous vous jetterez sur n’importe quelle sucrerie pour combler votre manque d’énergie.
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2. Prévoyez aussi chaque jour quelques collations nutritives. Idéalement choisissez-en dont la teneur en matières grasses est faible mais qui sont tout de même satisfaisantes au goût. Par exemple, un fruit, un yogourt, une barre granola, du pop corn sans beurre, du fromage cottage, etc.
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3. Lorsque l’envie de grignoter vous prend, optez plutôt pour un breuvage sans sucre tel qu’un grand verre d’eau citronnée, un thé ou une tisane. Gageons qu’une fois vous aurez bu votre grand verre ou votre tasse, vous aurez probablement moins envie de manger.
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4. Méfiez-vous de vous-même et évitez les tentations en ne conservant pas de «cochonneries» à la maison ou à votre bureau au travail. Il est toujours plus tentant et facile de mettre la main sur une «grignotine» s’il suffit d’ouvrir une armoire ou un tiroir plutôt que de sortir pour aller en acheter.
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5. Occupez-vous… Eh oui, la plupart du temps, vous n’avez probablement pas réellement faim mais vous mangez tout de même. Pourquoi? Peut-être parce que vous vous ennuyez, parce que vous êtes nerveuse ou en colère ou tout simplement pour occuper vos mains. Donc, la solution à ce comportement est de faire autre chose. Appelez une amie, allez prendre une marche, faites du jogging, faites le grand ménage de votre garde-robe, lisez un bon livre, etc. Vous avez le choix. Vous pouvez faire n’importe quoi sauf… vous empiffrez pour vous désennuyer ou vous calmer…
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6. Attention à la télévision! Malheureusement, «grignoter» et «télé» riment très bien ensemble. Il est si facile de manger en quantités astronomiques sans s’en apercevoir lorsque l’on est rivé à notre téléviseur. De plus, la majorité des annonces présentent d’alléchantes pizzas ou d’attirantes barres de chocolat… Allez, on se tient loin de la tv!
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7. Dès que vous avez fini de manger, brossez-vous les dents, passez-vous la soie dentaire et prenez du rince-bouche. Ceci vous aidera pour plusieurs raisons. Premièrement, vous ne serez pas tenté de remanger après cela car vos aliments ne goûteront pas aussi bons. Deuxièmement, vous n’aurez pas envie de tout recommencer une deuxième fois ou de gâcher votre bonne haleine fraîche en mangeant de nouveau.
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8. Diminuez votre consommation d’alcool. Vous le savez autant que moi… Il est toujours plus facile de dévorer le ¾ d’une boîte de biscuits Oreo ou une poutine familiale après avoir bu. Donc, évitez de vous goinfrer en diminuant tout simplement votre consommation de boissons alcoolisées. De plus, les cocktails et compagnie contiennent généralement une bonne quantité de calories… C’est donc à éviter ou à diminuer.
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9. Pour que votre corps et votre esprit comprennent que vous avez suffisamment mangé, ne faites pas autre chose en même temps. Évitez de regarder la télévision, de surfer le web, de lire ou de parler au téléphone pendant vos repas. Accordez-vous du temps pour bien déguster et savourer vos aliments.
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10. Finalement, si votre envie de grignoter est trop forte et que vous ne pouvez vraiment pas résister, essayez au moins de manger seulement de petites quantités. Parfois, seulement une dizaine de chips suffisent pour calmer une rage de «cochonneries»…
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dimanche, septembre 03, 2006

Manger pour maigrir

Si vous tentez de perdre du poids, pour l'amour ne vous affamez pas!
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À la place, changez ce que vous mangez -- et non la quantité -- que vous mangez, afin de terminer votre repas avec la sensation d'être plein, et non pas frustré. Au lieu de manger un gros plat de chili épicé, mangez un bol aussi gros de gazpacho, au lieu d'un morceau de tarte aux petits fruits, mangez un contenant complet de fraises juteuses. En d'autres mots, coupez dans les calories et le gras, pas dans la quantité de nourriture. Ça fonctionne, disent les scientifiques.
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De récentes recherches démontrent que manger des produits plus frais et plus légers tout en maintenant la quantité des portions, est une bonne façon de perdre du poids. Ce qui veut dire de manger des aliments contenant beaucoup d'eau comme les melons, tomates, concombres, légumes verts, carottes, raisons, oranges, jicamas, radis -- presque tous les légumes crus et la pluparts des fruits -- ainsi que des produits laitiers sans gras et des soupes à base de bouillon.
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Dans l'étude, les participants ont rapporté se sentir rassasiés après avoir mangé de grosses portions d'aliments faibles en calories. De plus, quand les portions d'aliments élevés en calories sont réduites, les participants rapportaient se sentir privés et affamés après avoir mangé.
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http://www.realage.com/news_features/tip.aspx?v=1&cid=17053

samedi, août 19, 2006

Hommage à l'exercice


Des chercheurs de l'Université du Missouri-Columbia, ont récemment mesuré le tissus adipeux d'un groupe de rats, et après un peu plus de deux ans sans exercices, les rats ont augmenté d'environ 25% leur masse adipeuse. "Ne sachant pas qu'il est possible d'obtenir de la nourriture à tout moment, le corps emmagasine, sous forme de gras, tout ce qu'il ne brûle pas pour faire fonctionner le corps", rapporte Frank Booth, PhDm, professeur d'études biomédicales et co-auteur de l'étude.
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De plus amples études sont requises pour mesurer et quantifier cette observation sur les humains. Toutefois, le message est clair: ce que vous ne brûlez pas en faisant de l'exercice, le corps le stockera sous forme de gras.
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Rick Chillot, Diane the curves magazine, winter 2006

Vous dormez, vous perdez


Une étude récente de l'Université de Columbia de la ville de New York, démontre que les gens qui dorment moins ont tendance à peser plus. Dans cette étude, des hommes et des femmes qui ne dormaient que 6 heures de sommeil par nuit, avaient 23% plus de chances de souffrir d'embonpoint que les personnes qui dorment en moyenne 7 à 9 heures par nuit.
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"La quantité d'hormone ghrelin augmente chez les personnes ne dormant pas assez" explique le chercheur James Gangwisch, PhD, "ce qui amène une augmentation de l'appétit et de la quantité de nourriture consommée."
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Vous avez de la difficulté à vous endormir? Une étude commanditée par le National Institutes of Health in Bethesda, Maryland, démontre que les suppléments de mélatonine peuvent vous aider à vous endormir plus rapidement.
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Diane the Curves magazine, summer 2005

samedi, juillet 15, 2006

L'appel des terrasses... sans les calories


Pour beaucoup d’entre nous, les chaleurs estivales riment avec terrasses ensoleillées, où il fait bon se détendre devant un repas léger et une boisson glacée. Mais avec les sandwichs qu’on y sert, souvent à base de viandes froides ou de salade mayo et accompagnés de frites, ces terrasses peuvent devenir le repaire de calories insoupçonnées. En effet, ce n’est pas parce qu’il y a un peu de carotte râpée et de luzerne dans notre assiette qu’on est à l’abri des grandes quantités de calories! Si vous surveillez votre poids, prenez la peine de faire des choix aussi éclairés qu’une journée d’été!

  • Au lieu d’une friture, optez pour une grillade.
  • Remplacez les viandes grasses (saucisse, viande fumée, charcuteries, etc.) par des choix plus maigres comme le jambon, le poulet ou la dinde.
  • Attention aux garnitures sous forme de salade de poulet, de goberge ou de thon: elles débordent souvent de mayonnaise!
  • Si vous commandez une salade, demandez que la vinaigrette soit servie à part. Vous pourrez ainsi en contrôler la quantité.
  • Côté boissons, prenez une version «diète» d’une boisson gazeuse ou choisissez une eau pétillante.
  • Si le resto où vous vous trouvez sert de grosses portions (comme c’est souvent le cas), pensez à demander une demi-portion ou à partager une assiette avec un autre convive.

Pensez-y au resto

  • Commandez une demi-portion du plat principal ou une entrée ou encore partagez un plat principal avec quelqu’un. Avec une soupe, c’est souvent bien suffisant.
  • Il n’est pas nécessaire de terminer votre assiette si vous n’avez plus faim. Mangez lentement et soyez attentif à vos signaux de faim. Et il n’y a pas de honte à demander à emporter les restes!
  • Méfiez-vous des tables d’hôte et surtout des buffets et des formules «à volonté». On mange souvent plus qu’à notre faim parce que c’est inclus dans le prix.
  • Optez pour les petites portions. Le petit format de maïs soufflé au cinéma ou la petite frite au resto.
  • Sachez dire non aux formats plus grands pour quelques sous de plus. On accepte souvent sans y penser… et sans avoir faim!

De plus petites portions à la maison

  • Servez les aliments dans de plus petites assiettes. Comme l’assiette est pleine, on a l’impression de manger davantage.
  • Achetez et préparez de plus petites quantités d’aliments.
  • Si vous buvez des breuvages riches en calories (boissons gazeuses, jus de fruits, boissons alcoolisées), servez-les dans un verre haut et mince. On a ainsi l’impression d’en avoir plus que dans un petit verre large.
  • Demandez-vous si vous avez vraiment faim avant de prendre une deuxième portion.
  • Limitez les quantités de vos collations en les servant dans une assiette. Vous serez moins porté à continuer à «piger» dans le sac ou la boîte.

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bulletin du 13 juillet 2006 du défi santé

mercredi, juin 14, 2006

Gras trans

Ce matin à l'émission de Paul Arcand, "puisqu'il faut se lever" sur les ondes du 98,5 FM, le Dr Pierre Lapointe a fait mention d'une étude réalisée sur des singes pendant 6 ans. Pour cette étude, deux groupes de singes ont reçu la même quantité de calories quotidiennement Le premier groupe n'a reçu aucun gras trans dans son alimentation. Le second groupe, a reçu des gras trans.

Voici les résultats de cette étude. Sur une période de 6 ans, les singes du second groupe (avec gras trans) ont pris jusqu'à 10% plus de poids que les singes du premier groupe (sans gras trans) et ce, même s'ils ont tous consommé la même quantité de calories quotidiennement.

Conclusion, lisez les étiquettes et évitez le plus possible les grans trans. Non seulement votre coeur et votre taux de cholestérolémie sanguin s'en porteront mieux, mais aussi votre tour de taille.

dimanche, mai 21, 2006

Les envies alimentaires: quand y succomber et quand résister

(traduction libre, soyez indulgents!)
Que sont les envies alimentaires?
Pourquoi devons-nous manger du chocolat, immédiatement, et rien d’autre ne fera l’affaire? Ou des frites, un hamburger, du beurre d’arachide? Est-ce que toutes ces demandes pressantes sont dans notre tête? Est-ce que ce sont des signes que notre organisme a besoin de certains nutriments? Quand devrions-nous céder? Quand devrions-nous y résister? De l'aide SVP.
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Les envies alimentaires étaient certainement présente à l’âge de pierre et se sont développées comme un moyen de survie, guidant nos ancêtres vers des saveurs et des aliments qui leur apportaient les nutriments vitaux mais rares dans leur alimentation comme le sucre, le sel et le gras. Toutefois, dans notre alimentation moderne, ces nutriments sont abondants. Donc, de nos jours, même si les envies alimentaires occasionnelles dirigent le corps vers des nutriments dont il a besoin, la plupart de celles-ci n’ont pas ce but. Nos instincts primitifs sont dépassés et ne peuvent être dignes de confiance.
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Au lieu de tenter de résister ou de succomber à ces envies alimentaires, pensez à les assouvir de façon contrôlée. Il s’agit ici d’acclimater vos papilles gustatives. Par exemple, le sucre est l’un des aliments les plus usuels au monde. Mais, comme le sucre est présent partout autour de nous, plusieurs d’entre nous ont développé une plus grande tolérance au sucre, tout comme un grand consommateur d’alcool qui ne ressent pas les effets de l’alcool d’une rasade capable d’assommer le commun des mortels. Donc, vous devez apprendre à vous satisfaire de plus petites doses de sucre pour satisfaire votre dent sucrée. Au lieu de manger des biscuits au brisures de chocolat, essayez les biscottes en forme d’animaux (contenant moins de sucre mais étant tout de même sucrés) qui satisferont votre envie --- peut-être même que des petits fruits frais feront l’affaire. Donnez une semaine ou deux à vos papilles pour s’acclimater au changement. Moins vous mangerez de sucre, plus vous deviendrez sensible au sucre, tout comme les gens qui mangent des mets très épicés ne ressentent pas la brûlure des épices, alors que d’autres ne supportent même pas un trait de sauce forte. Même s’il est difficile d’empêcher les envies de survenir, vous pouvez définitivement les diminuer.
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Le chocolat représente un cas spécial. Mis à part sa saveur sucré, riche et son arôme envoûtant, son attrait particulier est probablement le haut taux de magnésium qu’il contient, spécialement avant et après les menstruations. Des études ont démontré que les suppléments de magnésium aide à diminuer les symptômes pré-menstruels, incluant les SPM, et le chocolat ferait le même travail. De plus, le chocolat contient des acides-aminés qui tendent à augmenter les niveaux de sérotonine et de dopamine dans le cerveau, hormones qui améliorent l’humeur. Quand l’envie de chocolat vous prend, mon conseil est le suivant : mangez un à trois carrés de chocolat noir, moins calorifique que le chocolat au lait, et surtout, contenant plus de magnésium et de fibres. De plus, le type de gras contenu dans le chocolat noir, l’acide stéarique, même s’il est saturé, ne fait pas augmenter le cholestérol sanguin. Finalement, le goût du chocolat noir étant plus intense, vous vous contenterez d’une plus petite dose.
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Avec un peu de planification, vous envies alimentaires et vous pourrez coexister en harmonie. Et s’il vous arrive d’abdiquer et de succomber totalement, une fois de temps en temps, ne culpabilisez pas. Ce mécanisme de survie existe depuis des millénaires et parfois, même la bonne volonté et le contrôle ne gagnent pas.
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Source « Cravings: When to Give In, When to Resist» par David L. Karz, MD The Oprah Magazine, august 2003

samedi, mai 06, 2006

Quoi faire si vous atteignez un plateau


(traduction libre, soyez indulgent!)

L’une des frustrations les plus communes dans un processus de perte de poids, se produit quand un plateau est atteint et ce, malgré tous nos efforts et notre motivation pour rester « on program ».
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Ces plateaux sont prévisibles et explicables. Le métabolisme de base, (l’énergie requise par votre corps pour se maintenir en vie : faire battre le cœur, respirer, filtrer le sang par les reins, etc…) requiert 60 à 70 % des calories brûlées et dépend, en grande partie, de la masse corporelle. Quand vous perdez du poids, la masse corporelle diminue ce qui fait diminuer aussi votre métabolisme de base.

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Voici un exemple : vous pesez 162 lbs et vous ingérez 1 900 calories quotidiennement. Pour perdre une livre par semaine, vous devez couper entre 500 et 600 calories par jour. Donc, vous vous limitez à 1 400 calories par jour, et vous perdez du poids. Soudain, après 6 semaines, votre poids se stabilise et vous atteignez un plateau. Avec votre perte de poids, votre métabolisme a aussi diminué (disons qu’il est passé de 0,95 à 0,75 calorie par minute), et, si votre corps avait l’habitude de brûler 1 368 calories par jour, il n’en consomme maintenant que 1 080. Au poids où vous êtes plafonné, il y a aussi moins d’effort à faire pour vous mouvoir, donc vous brûlez moins de calories lorsque vous vous entraînez et en production de chaleur. Ce qui implique que votre consommation actuelle de calories est très près du nombre de calories requises par votre corps pour fonctionner. Vous avez donc atteint un nouveau et très ennuyant, équilibre. Maintenant que vous savez ce qui s’est produit, voici ce qu’il faut faire :

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1. Accrochez-vous
Vous vous sentez peut-être pris au piège mais vous continuez probablement à perdre du poids, seulement pas assez pour que la balance puisse le détecter. Mais, même si vous ne perdez qu’un tiers de livre par semaine, au bout d’une année, vous aurez éliminé 17 livres.
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2. Évitez les calculs approximatifs
Il est aisé de sur-estimer les calories dépensées et de sous-estimer les calories ingérées. Essayez de détecter où les calories peuvent se cacher : vinaigrettes, tartinades, sauces, croûtons, et condiments. Goûtez-vous aussi aux plats que vous cuisinez? Finissez-vous les assiettées de vos enfants? Prenez-vous de petites pincées de noix, arachides, chips ou des bonbons? Il serait utile de rédiger un journal alimentaire. Rappelez-vous, vous devez créer un déficit d’au moins 3 500 calories pour perdre une livre par semaine, ou si vous préférez ne pas manger moins, il vous faudra faire au moins 10 heures de marche rapide de plus pour perdre cette livre!
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3. Ajoutez de la résistance
Augmenter vos activités physiques est très utile pour faire basculer un plateau parce que l’exercice brûle des calories et augmente la masse musculaire. Plus cette dernière est importante, plus votre métabolisme de base est élevé. Alors, entraînez-vous avec de petits poids ou tout autre sorte de résistance. En augmentant votre masse musculaire alors que vous perdez du gras corporel, peu compenser pour la chute du métabolisme de base initiée par votre perte de poids.
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4. Augmentez votre apport en protéines
Certaines études démontrent qu’en consommant plus de calories provenant des protéines plutôt que des gras et des hydrates de carbone, vous pouvez préserver votre métabolisme de base durant votre perte de poids. Toutefois, ne remplacez pas plus de 20 % de vos calories totales ingérées quotidiennement par des protéines.
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5. Surprenez votre corps
Plusieurs experts de la mise en forme proclament que vous devez surprendre votre corps en changeant votre diète, vos activités physiques ou les deux, et que par le fait même, vous pouvez vous sortir d’un plateau. La science derrière cette affirmation est assez mince mais la logique veut que la variété peut vous garder intéressé à poursuivre. Par exemple, au lieu d’être constamment à la diète, vous pouvez alterner entre des journées où vous limitez votre consommation de calories et d’autres où vous serez moins restrictif, comme des journées de maintien. Essayez une nouvelle activité. Alternez vos séances d’aérobie avec des journées musculation/étirement. Un changement pourrait bien être ce que vous avez besoin pour remettre le train sur les rails.
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6. Rechargez votre motivation
Si vos motivation vacille, écrivez toutes les raisons pour lesquelles vous voulez perdre du poids. Regardez votre liste à tous les jours. De plus, mettez votre famille et vos amis au courant de votre démarche et dites-leur que vous avez besoin de leur support.
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7. Reconsidérez « la peau dans laquelle vous êtes »
Un plateau est une opportunité de réévaluer s’il est avantageux de poursuivre la perte de poids, considérant les efforts que vous devrez y mettre. Il vous permet également de considérer que vous êtres peut-être à un poids parfaitement santé et que vous n’avez plus besoin de perdre du poids. Si vous décidez d’arrêter, axez votre détermination vers le maintien de tout ce que vous avez accompli et de vous garder en forme. Rappelez-vous qu’une saine alimentation et d’être physiquement actif est bon pour vous. Faites un peu des deux à chaque jour, et vous aurez atteint le succès total.

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Source « The Plateau : what to do when you hit the weight loss wall—seven ways to get over it » par David L. Karz, MD The Oprah Magazine, august 2003

dimanche, avril 16, 2006

Trucs minceurs

C’est décidé. Vous êtes convaincu. Vous êtes prêt à perdre du poids. Il vous faut donc réduire vos portions et vivre au gym, n’est-ce pas ? Pas nécessairement. Des changements mineurs et subtils peuvent faire toute une différence à long terme. De plus, des changements mineurs et subtils sont plus faciles à intégrer à votre routine actuelle.
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Prenez l’approche de l’enfant qui fait ses premiers pas : une chose à la fois, comme utiliser de la crème moitié-moitié pour le café matinal plutôt que de la crème entière. Il y a de nombreux petits changements que vous pouvez faire – dans votre diète et dans votre routine quotidienne – des changements qui vous feront perdre du poids à long terme.
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Jetez un coup d’œil aux 25 conseils qui suivent. Vous apprendrez à manger plus intelligemment, à ajouter une part d’exercice dans votre horaire chargé tout en apportant un peu d’air frais à votre routine. Commencez par adopter dès cette semaine cinq de ces conseils que vous pourrez suivre sans trop de problèmes. Ensuite, ajoutez-en cinq autres la semaine suivante.
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Ces suggestions ne conviennent pas toutes à tout le monde; essayez et déterminez ce qui fonctionne pour vous. Des changements en apparence mineurs peuvent avoir un impact important sur votre perte de poids – et sur votre nouvelle personne!
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Conseils nourriture
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• Dans les petits pots, les meilleurs onguents. Voici un truc pour vous aidez à vous sentir comblée tout en gardant la taille des portions sous contrôle. Coupez les aliments riches en calorie - le fromage, le chocolat, etc. – en plus petits morceaux. Vous aurez l’impression d’en avoir plus.
• Conservez les trempettes. Si vous aimez les trempettes et les sauces, ne les faites pas disparaître complètement de votre alimentation. Utilisez plutôt de la crème sûre ou de la mayonnaise qui sont faibles en matière grasse plutôt que les produits réguliers.
• De l’eau, encore de l’eau. Plutôt qu’une collation riche en calories, votre main devrait tenir un verre d’eau. Voilà qui aidera considérablement votre tour de taille. Ajoutez-y un peu de citron ou de lime en tranches.
• De l’herbe! Votre armoire à épice doit prendre du volume : faites le plein de fines herbes et faites-en aussi pousser sur le rebord de la fenêtre de cuisine. Les épices et les fines herbes donnent des arômes fantastiques sans ajouter de gras ou de calories.
• « Amincissez » votre soupe. Lorsque vous faites une bonne quantité de soupe, laissez la refroidir au réfrigérateur avant de la manger. En refroidissant, le gras remontera à la surface. Il vous sera alors plus facile de l’enlever à la cuiller avant de réchauffer à nouveau, réduisant ainsi l’apport en calories.
• Des emporte-restes au resto. Lorsque vous sortez au restaurant, demandez au serveur de mettre la moitié de votre plat principal dans un emporte-restes avant de vous apporter votre repas. Mettre ainsi de côté la moitié de votre plat avant de commencer à manger vous aidera à exercer un meilleur contrôle sur vos portions.
• Écoutez vos fringales. Si vous désirez du sucre à la collation, mangez quelque chose de sucré – mais optez plutôt pour du bon sucre, comme les fruits frais, plutôt que pour de la nourriture riche en calories. Il en va de même pour ce qui est croustillant – par exemple, essayez plutôt du maïs soufflé à l’air avec de la sauce soya plutôt que des tortillas riches en matières grasses. Il s’agit de substituer intelligemment.
• Allez-y doucement avec les nouveautés. Si mangez beaucoup de fruits et légumes est quelque chose de nouveau pour vous, commencez avec modération. Accompagnez vos sandwiches de légumes, ou ajoutez des fruits à vos céréales.
• Cherchez les indices pour éviter le gras. Vous désirez une façon d’identifier des repas riches en calorie. Attention lorsque vous voyez les mots suivants : au gratin, parmigiana, tempura, Alfredo, à la crème, et carbonara; optez alors pour la modération.
• Concentrez-vous sur une chose à la fois en mangeant. Si vous travaillez, lisez ou regardez la télévision en mangeant, vous ne portez pas attention à ce que vous mettez dans votre bouche – et vous ne pourrez pas profiter de chaque bouchée. A chaque fois que vous vous assoyez pour un repas, assoyez-vous. Prenez le temps de bien mastiquer et de profiter à plein des textures et des arômes. Vous apprécierez votre repas davantage et vous mangerez moins.
• Goûtez à quelque chose de nouveau. Élargissez votre répertoire culinaire – vous pouvez découvrir de nouveaux aliments plus sains que ceux auxquels vous êtes habitué. Essayez un nouveau fruit ou un nouveau légume (vous connaissez le dolique bulbeux, la banane à cuire, le pak-choï, la carambole ou la papaye ?).
• Toujours laisser quelque chose dans l’assiette. A chaque repas, assurez-vous de laisser une bouchée dans l’assiette, que ce soit un bout de bagel, la moitié d’un sandwich ou le pain du hamburger. Essayez de voir si vous vous sentez rassasié avec moins.
• Apprenez à bien connaître la taille des portions. Il est facile de sous-estimer combien nous mangeons. Ne faites pas qu’estimer la quantité de nourriture que vous consommez – soyez sûr. Demandez combien grosse la portion est, lisez les listes d’ingrédients sur les emballages et mesurez la quantité de nourriture que vous utilisez. Surtout, apprenez à bien faire le calcul des portions. Une portion de pâte, par exemple, devrait être de la grosseur d’une balle de tennis.
• Faites des substitutions santé. Substituez des ingrédients santé à ceux qui le sont moins. Trouvez ce qui fonctionne pour vous : utilisez du lait écrémé plutôt que du lait entier ; lorsque vous faites des carrés au chocolat, utilisez de la compote de pommes plutôt que de l’huile ; essayez le pain de grains entiers plutôt que le pain blanc.
• Apportez votre lunch au travail. Faire votre propre lunch vous aidera à mieux contrôler la taille des portions. C’est aussi une bonne alternative aux restaurants et à la malbouffe. Faire des choix santé peut s’avérer difficile au resto et votre portefeuille s’en portera mieux.
• N’évitez pas le dessert. Vous n’avez pas à vous priver tout le temps. Accordez-vous une petite douceur de temps à autre, et quand c’est le cas, profitez-en sans culpabilité. Gardez un œil sur vos portions et assurez-vous de compenser ailleurs, par exemple en faisant de l’exercice un peu plus longtemps par la suite ou en sautant la collation de l’après-midi.
• Demandez ce dont vous avez besoin. Dites à votre belle-mère que vous ne désirez pas de seconde portion. Demandez à votre conjoint d’arrêter de vous donner du chocolat. Quand vient le temps de choisir le resto avec les collègues du bureau, exigez un endroit où on peut manger santé. Pour perdre du poids, il vous faudra être déterminée et exiger ce que vous désirez. Vous êtes votre première priorité : montrez-le.
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Conseils activité physique
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• Améliorez votre technique sur tapis roulant. Lorsque vous faites du tapis roulant, assurez-vous de pouvoir lâcher les poignées. Vous pouvez les utiliser pour vous stabiliser, mais vous ne devriez pas avoir à les tenir constamment. Si c’est le cas, c’est peut-être un signal que vous devriez diminuer le niveau d’intensité de votre activité.
• Jean dit… en forme ! Voici une façon aisée de faire de l’exercice tout en vous amusant avec vos enfants. Procurez-vous des poids libres de 0,5 Kg et jouez à Jean dit – en ayant les poids dans les mains tout au long du jeu. Vous verrez, les petits vont adorer.
• Tirez le maximum de vos promenades à pied. Si votre parcours habituel est devenu trop aisé, augmenter l’effort en trouvant des collines. Assurez-vous simplement d’aborder celles-ci au début de votre promenade, quand vous avez de l’énergie.
• Magasinez… et perdez du poids ! Ajoutez l’exercice à vos emplettes. Lorsque vous allez faire des achats, stationnez-vous le plus loin possible des magasins, afin de marcher plus. Marchez dans les escaliers roulants – essayez d’arriver plus vite à votre destination en augmentant le pas – vous verrez les avantages.
• Marchez 100 pas de plus au travail à chaque jour. Ajouter ne fut-ce qu’un peu d’exercice à votre routine peut augmenter la perte de poids. Aujourd’hui, utilisez les escaliers plutôt que l’ascenseur, et allez voir votre collègue à son bureau plutôt que de lui envoyer un courriel ou de lui téléphoner.
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Conseils style de vie
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• Brossez-vous les dents après chaque repas et collation. Vous enverrez un signal à votre bouche – et à votre esprit – qu’il est temps d’arrêter de manger. Le brossage vous donnera une haleine fraîche que vous ne voudrez pas ruiner en prenant une croustille par la suite. Au travail, conservez dans votre bureau de la pâte à dents et une brosse à dents dans un étui.
• Nettoyez vos garde-robes. En premier lieu, il s’agit d’un excellent exercice. Ensuite, c’est une façon pratique de changer d’attitude. Débarrassez-vous de tous ces vieux vêtements qui vous font sentir mal et qui vous vont mal. Jetez tout ce qui est trop ample – ne vous donnez pas l’occasion de les porter à nouveau. Mettez les vêtements plus ajustés à l’avant pour vous motiver. Bientôt, cette paire de jeans trop ajustée vous ira à merveille.
• Mesurez votre tour de taille. Vous n’aimerez peut-être pas votre tour de taille actuel, mais vous serez heureux d’avoir noté vos mensurations quand vous constaterez que les centimètres disparaissent. C’est une autre façon de mesurer sa réussite plutôt que de regarder la balance. Parfois, celle-ci paraîtra désespérément figée mais vous constaterez que vous avez perdu un ou deux centimètres de plus.
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Cet article nous provient de weightwatchers.ca

dimanche, avril 09, 2006

Objectif poids santé: attention aux mégaportions

Dans son film Super Size Me, Morgan Spurlock mange du fast-food matin, midi et soir… et prend jusqu’à une livre par jour! Il fait ainsi la preuve que la mode des mégaportions lancée par les restaurants-minute se porte aussi autour de la taille. Et ce n’est pas fini! Alors que les portions sont déjà démesurées, on offre maintenant «le format géant pour 0,50 $ de plus»! Vous pensez en obtenir plus pour votre argent? N’oubliez pas que vous obtenez aussi beaucoup de calories… et plus de kilos.
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Pensez-y au resto
  • Commandez une demi-portion du plat principal ou une entrée ou encore partagez un plat principal avec quelqu’un. Avec une soupe, c’est souvent bien suffisant.
  • Il n’est pas nécessaire de terminer votre assiette si vous n’avez plus faim. Mangez lentement et soyez attentif à vos signaux de faim. Et il n’y a pas de honte à demander à emporter les restes!
  • Méfiez-vous des tables d’hôte et surtout des buffets et des formules «à volonté». On mange souvent plus qu’à notre faim parce que c’est inclus dans le prix.
  • Optez pour les petites portions. Le petit format de maïs soufflé au cinéma ou la petite frite au resto.
  • Sachez dire non aux formats plus grands pour quelques sous de plus. On accepte souvent sans y penser… et sans avoir faim!

De plus petites portions à la maison

  • Servez les aliments dans de plus petites assiettes. Comme l’assiette est pleine, on a l’impression de manger davantage.
  • Achetez et préparez de plus petites quantités d’aliments.
  • Si vous buvez des breuvages riches en calories (boissons gazeuses, jus de fruits, boissons alcoolisées), servez-les dans un verre haut et mince. On a ainsi l’impression d’en avoir plus que dans un petit verre large.
  • Demandez-vous si vous avez vraiment faim avant de prendre une deuxième portion.
  • Limitez les quantités de vos collations en les servant dans une assiette. Vous serez moins porté à continuer à «piger» dans le sac ou la boîte.

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source

http://defisante530.com/defisante/fr/relever_le_defi/passez_a_l_action/poids_sante

vendredi, mars 24, 2006

Vie active en quatre étapes

Toute personne inactive qui entame pour la première fois un programme d'entraînement ou une nouvelle activité et qui veut en faire une pratique régulière passera par quatre étapes.
1- La résolution
2- L'initiation
3- L'épreuve
4- La réussite
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La résolution (Avant le début de l'activité)
À cette étape, vous (la personne sédentaire) remettez en question votre style de vie. Vous constatez que certains de vos besoins vous incitent à adopter une vie active, mais vous hésitez à changer votre routine. Incorporer des séances d'activités physiques à son train-train quotidien crée une résistance au changement. Il faut surpasser cette résistance.
Vous analysez les pours et les contres de la vie active et vous vous motivez de plus en plus à dire « Je vais bouger ». À un moment donné surviendra le fameux déclic qui fait en sorte que vous décidez d'entamer les démarches pour être actif ou active régulièrement. Cette résolution de vivre activement est la plus grande difficulté de cette étape.
Ensuite, vous devez choisir une activité qui correspond à vos goûts et à vos buts visés. Il faut que le choix réponde bien à vos besoins.
Le mot d'ordre de cette étape est de dire « Je vais bouger » et de bien choisir son activité.
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L'initiation (Du début au deuxième mois)
Après avoir choisi selon vos critères personnels une activité, il faut la débuter. Vous, la nouvelle personne active, sentirez un stress initial qui vient du fait que vous vous retrouvez dans un nouvel environnement et aussi parce que ce changement perturbe votre style de vie. Malgré ce petit hic, si l'activité a été correctement choisie, le danger d'interrompre l'activité se dissipera, puisque vous ressentirez un réel engouement à pratiquer votre sport. En effet, la notion de nouveauté apportera du plaisir.
Toutefois, si l'activité ne correspond pas à vos goûts et à vos critères ou si l'ambiance est désagréable, vous cesserez rapidement de la pratiquer. La grande majorité des échecs à cette étape est dû à un mauvais choix d'activité et non à votre comportement.
Le mot d'ordre est d'avoir du plaisir dans votre nouvelle activité.
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L'épreuve (Du troisième mois au septième mois)
À cette étape, vous commencez à bien connaître votre activité et votre entourage. Les premières difficultés vont se faire ressentir. Par exemple, vous partez en voyage, vous changer d'emploi ou vos études deviennent plus ardues. Il s'agit de situations qui bouleverseront votre style de vie actif. Il ne faut surtout pas choir dans la paresse. Il est préférable d'adopter une attitude positive et énergique. Il est normal de manquer des séances d'activités, mais à long terme il faut être régulier. Persistez, malgré les entraves qui se dressent devant vous.
De plus, il est possible que vous ressentiez de la fatigue. Il faut reconnaître les signes que votre corps vous envoie afin de bien doser la fréquence de vos séances. Si la fatigue s'installe, il faut prendre le temps de récupérer ou allez-y plus doucement dans vos activités.
Le mot d'ordre est d'être régulier dans la pratique de votre activité tout en prenant le temps de bien récupérer dans vos périodes de repos.
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La réussite (Huit mois et plus)
Rendu à cette étape, vous êtes à l'aise avec votre entourage et avec votre activité. Les séances d'activités physiques font parties intégrantes de votre style de vie actif. Vous êtes définitivement sur la bonne voie. Il suffit de continuer à pratiquer votre activité. Prenez le temps d'encourager les autres à bouger.
Vous êtes au point où vous pouvez essayer des nouvelles activités. La pratique de nouveaux sports permet de solliciter des qualités différentes du corps.
Le mot d'ordre est de continuer à bouger.
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par Thomas Kieller

5 façons de profiter pleinement de ses exercices


C'est bien de bouger, mais c'est encore mieux de savoir profiter de ses efforts.
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1. Dormir davantage.

Simple: bien reposé, on est capable de travailler plus fort.
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2. Être concentrée.
On laisse le boulot au bureau et on prend ce temps pour nous. Un truc: commencer par 5 minutes de méditation.
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3. Espacer les entraînements intenses d'au moins 48 heures.
C'est le minimum nécessaire pour récupérer.
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4. Un apport de glucides complexes
- boire du Gatorade ou manger une pomme - pendant l'entraînement retarde la fatigue en augmentant le niveau de sérotonine et de dopamine dans le cerveau.
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5. Respecter son rythme.
S'entraîner autant que possible à l'heure où on se sent d'attaque. Il est peu productif et presque impossible de tromper son rythme naturel.
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Par Nathalie Lambert
http://www.coupdepouce.com/Coupdepouce/client/fr/Sante/DetailNouvelle.asp?idNews=966&idsm=272

samedi, mars 18, 2006

Pourquoi est-il si difficile de modifier ses habitudes?

Que vous soyez du genre à vous allonger devant le téléviseur plutôt qu'à faire de l'exercice, à fumer la dernière cigarette... depuis six mois ou à paniquer parce que vous n'avez plus d'ongles à ronger, sachez que vous n'êtes pas seul. « Les gens n'aiment pas changer leurs comportements », explique Richard Earle, directeur du Canadian Institute of Stress et de la fondation Hans Selye. Pourquoi? Il est dans la nature humaine de résister au changement, même si l'on sait que notre vie s'en trouverait améliorée. « La plupart d'entre nous préférons suivre le courant », ajoute-t-il et c'est pourquoi l'on dit souvent que « le seul être humain en faveur du changement, c'est un bébé qui a la couche pleine! »
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Nous avons tendance à prédire l'échec, pourquoi?
M. Earle a recours à l'humour pour expliquer pourquoi il nous est si difficile de changer. En fait, cette résistance est encore plus complexe que l'on ne le croit en raison de cette autre caractéristique humaine commune à tous, peu importe notre culture ou origine ethnique : la tendance au pessimisme. « Dans chaque langue parlée sur Terre, le rapport entre les qualificatifs pessimistes et optimistes est de trois contre un », explique-t-il.
Autrement dit, nous sommes mieux équipés, des points de vue linguistique, psychologique et émotif, pour concentrer nos efforts sur ce qui peut mal aller plutôt que bien aller. Le résultat? Notre motivation s'effrite avant même d'entamer tout changement. « Est-il alors étonnant que les gens perdent toute envie de continuer?, lance M. Earle. Nous n'avons qu'à constater les programmes amaigrissants qui ne fonctionnent pas ou la panoplie d'équipement de gymnastique qui accumule la poussière dans un coin de la maison. »
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Qu'est-ce qui inspire le changement?
Un des importants facteurs motivants est l'inconfort. Une grande partie de ce qui motive ou inspire les gens à changer se résume en un seul mot : malaise. La plupart des personnes ne modifient leur comportement que lorsqu'elles ont beaucoup de mal ou lorsqu'elles se sentent vraiment mal à l'aise, ajoute M. Earle qui n'oublie jamais de poser cette question à ses patients, « Quelle douleur ou quel malaise vous a poussé à modifier votre comportement? » Jan Hill, conseillère en dynamique de la vie à Toronto, confirme ces dires : « Les gens endurent et endurent jusqu'à ce que leur situation devienne insoutenable; ils prennent ensuite les mesures nécessaires pour modifier leur style de vie. »
Cette décision coïncide habituellement avec un changement dans les valeurs fondamentales. Citons en exemple la personne qui estimait primordial de s'investir totalement dans une carrière et qui soutient désormais qu'il est vital de réserver du temps aux amis, à la famille, et à elle-même.
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Le facteur « M »—la motivation doit venir de l'intérieur
Les spécialistes s'accordent pour dire que la motivation doit venir de l'intérieur. Aucun reproche, aucune intimidation ni raisonnement ne viendra à bout d'un partenaire, d'un enfant ou d'un patron qui ne veut pas changer. Bien que l'appui des autres soit essentiel, seule la personne concernée peut prendre les mesures qui s'imposent.
« Si on change un comportement simplement pour plaire aux autres, on risque d'avoir des problèmes. Il est beaucoup plus probable que nous ferons une rechute en période de stress », fait remarquer Mme Hill. Étant donné que le processus de changement est stressant en lui-même, il est d'autant plus facile de succomber aux tentations lorsqu'on souffre de fatigue, de solitude ou de faim.
Au bout du compte, la clé, c'est d'être véritablement motivé, d'avoir le facteur « M », affirme M. Earle. Il cite l'exemple d'un homme de 50 ans qui, malgré son arthrite rhumatoïde, adorait restaurer de vieilles voitures. Même s'il souffrait de plus en plus, il refusait catégoriquement de faire les étirements nécessaires pour réchauffer ses muscles, jusqu'au jour où, après avoir fait quelques exercices d'assouplissement, il a pu se glisser plus aisément sous ses voitures. Cela a été l'élément déclencheur qui l'a décidé à s'inscrire à des cours de yoga. « Inutile d'essayer de motiver cet homme, ajoute M. Earle. Ce n'est que lorsqu'il s'est rendu compte que les exercices lui faisaient du bien, qu'il a eu la motivation de les faire. C'est à partir de ce moment qu'il a changé d'idée. »
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L'appui des autres est essentiel
Il faut également savoir que tout changement peut modifier la relation que nous entretenons avec notre entourage, particulièrement avec les personnes qui ont les mêmes mauvaises habitudes, comme boire de l'alcool, fumer ou être inactifs.
Pour vous aider à maintenir votre nouveau style de vie, liez-vous d'amitié avec les gens que vous rencontrez au club sportif. Qui sait, peut-être serez-vous même en mesure d'améliorer vos relations avec vos proches qui ont souvent souffert de votre absence autour de la table lorsque vous restiez au bureau trop tard le soir.
Vous saurez aussi reconnaître les personnes qui appuient votre nouveau style de vie et celles qui vous mettent des bâtons dans les roues. Vous augmenterez vos chances de succès en vous entourant de gens qui vous encouragent. Après tout, qu'y a-t-il de plus valorisant que de voir vos enfants sourire lorsque vous leur annoncez qu'au lieu de travailler tard, vous les amenez voir une partie de base-ball?
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Autres conseils pour encourager le changement
« Les habitudes aiment la compagnie », fait remarquer Jan Hill. Pour arriver à les rompre, vous devez briser les liens entre elles. Si vous cessez de fumer, par exemple, et aviez l'habitude de griller une cigarette en prenant un café, vous devez modifier ce dernier comportement : tenez plutôt un journal ou prenez le temps de faire une promenade!
Pour vous faciliter la tâche, faites chaque jour le bilan de vos réussites ou, encore, essayez de vous visualiser en train de réaliser un de vos rêves : faire de la voile autour des îles Vierges britanniques; autographier votre best-seller, etc.
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La rechute : si vous ne réussissez pas du premier coup...
Tout d'abord, sachez qu'il n'y a aucune honte à faire une rechute. Il est très difficile de changer son style de vie. La plupart des personnes succombent à la tentation à un moment donné. L'important est de ne pas laisser cette rechute (peut-être avez-vous fumé une cigarette ou mangé tout un sac de croustilles), vous convaincre que vous ne pouvez y arriver.
Au dire des spécialistes, une rechute peut fournir de l'information indispensable sur votre degré de vulnérabilité. Tirez-en une leçon, repartez sur la bonne voie et apprenez à gérer les coups futurs. À force de persévérance, vous réussirez.
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Publié le 7 juillet 2005
Cet article a été rédigé par Kristin Jenkins, journaliste et rédactrice de Toronto spécialisée en santé et en médecine.

http://www.canadian-health-network.ca/servlet/ContentServer?cid=1119222330411&pagename=CHN-RCS/CHNResource/CHNResourcePageTemplate&c=CHNResource

mercredi, mars 15, 2006

Le virage vert


En l'honneur de la Saint-Patrick, voici cinq aliments qui rendent tous les autres verts de jalousie. Même si leur valeur nutritive a la taille de l'incroyable Hulk (ils sont riches en vitamines A et C, en fibres et en acide folique), ce sont plutôt de petits lutins, comptant moins de 50 calories par portion.
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Asperges.

Une façon classique d'ajouter une touche d'élégance à n'importe quel repas. Cuisez-les à la vapeur ou dans le micro-ondes et agrémentez-les de jus de citron frais.
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Choux de Bruxelles.

Voyez-les comme les minichoux qu'ils sont et râpez-les dans les salades ou faites-les cuire légèrement à la vapeur et assaisonnez-les.
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Épinards.
Deux tasses d'épinards crus en salade vous apportent plus de vitamine A qu'il ne vous en faut en une journée.
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Fleurons de brocoli.

Pour une collation énergisante, délaissez les chips de maïs au profit du brocoli, dans les plateaux avec trempette.
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Kiwi.

Un seul de ces petits fruits velus contient assez de vitamine C pour toute une journée. Le kiwi se mange plus facilement si vous le videz à la cuillère, comme un œuf dur.
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www.Slimfast.ca

mercredi, mars 08, 2006

12 trucs pour éviter les rages alimentaires

Vous êtes du genre à vous retenir puis, n'en pouvant plus, à vous empiffrer? Et, bien sûr, vous vous sentez ensuite coupable. Vous vous en voulez d'avoir encore une fois flanché, d'avoir mangé autant et de ne pas avoir su vous maîtriser. Vous êtes victime de ce que l'on appelle les rages ou les compulsions alimentaires, c'est-à-dire une perte de maîtrise face à la nourriture.
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1. Mangez à des heures régulières
La faim rend plus vulnérable aux rages alimentaires. Ne restez pas de longues heures sans manger. Prenez vos repas à des heures régulières.

2. Vive les collations!
Si vous prenez une collation dans la matinée et une autre dans l'après-midi, vous mangerez moins aux repas. Si vous rentrez à la maison le ventre creux après une longue journée de travail, vous risquez de ne pas avoir la patience d'attendre l'heure du repas et de dévorer tout ce qui vous tombe sous la main. La collation idéale contient des glucides et des protéines : un fruit et un yogourt, des légumes et du fromage, une compote de fruits et quelques noix, un verre de lait et des craquelins, etc.
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3. Évitez les tentations
Vous raffolez des croustilles et ne pouvez vous arrêter quand vous avez commencé à en manger? Vous êtes accro à la crème glacée, aux bonbons, au chocolat, au fromage ou au beurre d'arachide? Évitez d'avoir dans votre frigo ou votre garde-manger ces aliments auxquels vous ne pouvez résister. Vous vous contenterez d'en manger au restaurant ou chez des amis, par exemple.

4. Limitez votre consommation d'alcool
L'alcool stimule l'appétit. Si vous prenez un apéro, vous risquez de manger davantage au repas qui suit. Les personnes compulsives ont beaucoup de difficulté à manger raisonnablement quand elles ont consommé de l'alcool.
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5. Attention aux aliments sucrés
Il est particulièrement difficile de résister aux aliments sucrés et à indice glycémique élevé. Céréales à déjeuner sucrées, pain blanc, desserts, crème glacée sont donc à éviter le plus possible.
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6. Non aux régimes sévères
Les personnes qui ont déjà suivi de tels régimes sont parmi les plus sujettes aux compulsions alimentaires. Elles succombent très facilement aux aliments dont elles se sont privées quand elles étaient à la diète.
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7. Oui aux protéines
On ressent rapidement l'effet de satiété après avoir mangé des aliments riches en protéines. Les oeufs, le fromage, le tofu, la viande, la volaille et le poisson rassasient et soutiennent pendant une longue période.
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8. Augmentez votre consommation de fibres
Les fibres, tout comme les aliments protéiniques, rassasient tout en favorisant le transit intestinal. On mange moins quand on mange des pâtes de blé entier plutôt que des pâtes ordinaires, par exemple. Choisissez des biscottes, des céréales à déjeuner et du pain contenant plus de 4 g de fibres par portion.
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9. Mangez épicé
Des études montrent que les mets épicés, notamment ceux qui contiennent du piment fort, diminuent l'appétit. Relevez vos plats. Les mets goûteux et savoureux vous satisferont rapidement.
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10. Apprenez à résister
Vous êtes prise d'une fringale? Attendez un moment avant de succomber. Avez-vous vraiment faim? Si la réponse est non, mais que la tentation perdure, sortez et allez marcher un peu, appelez une amie ou écrivez votre journal pour vous libérer l'esprit.
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11. Ne mangez pas seule
Se mettre à table avec des amis ou en famille aide à se satisfaire de portions normales.
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12. Demandez de l'aide
Si vos compulsions sont fréquentes (plusieurs fois par semaine) et que le problème dure depuis des mois, une consultation avec un spécialiste - nutritionniste ou psychologue - est souhaitable. Certains psychologues se spécialisent dans le traitement des comportements compulsifs. Le regroupement Outremangeurs anonymes vient également en aide aux personnes aux prises avec des troubles alimentaires. L'approche, semblable à celle des Alcooliques anonymes, met l'accent sur l'équilibre physique, émotionnel et spirituel. Tél. : 1 800 509-1939.
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Par Isabelle Huot, docteure en nutrition
http://www.madame.ca/madame/client/fr/Sante/DetailNouvelle2.asp?idNews=233796&pg=1

samedi, mars 04, 2006

La fin des interdits

Lorsque vous voulez perdre quelques kilos, est-ce que vous délaissez vos plats favoris ? Si oui, au bout de quelques jours, vous sentez-vous privés ?

Regardez-vous ceux autour de vous prenant du plaisir à manger les aliments "interdits" ? Si je vous dis que vous n'aurez plus jamais droit à du chocolat, combien de temps cela prendra au chocolat pour devenir le seul aliment que vous voulez manger ?

Interdire et se priver nous rend, non seulement malheureux, mais désireux d'avoir ce que l'on ne peut avoir. Nous commençons à nous priver de certains aliments parce que nous pensons qu'ils sont mauvais pour nous. C'est à ce moment que nous désirons cet aliment que nous nous sommes interdit mais pas seulement un morceau, nous en voulons beaucoup.

Prenons pour exemple le chocolat : nous le bannissons parce qu'il contient beaucoup de calories. Dans un moment de faiblesse, vous vous jetterez sur la tablette de peur de ne plus jamais pouvoir en manger à nouveau.

Après avoir franchi la limite de vos interdictions, vous vous sentez coupable et vous repartez de plus belle vers les restrictions-privations : plus de chocolat pour vous !

Ainsi, à chaque fois que vous verrez du chocolat, vous entendrez une petite voix vous dire que c'est là un " mauvais " aliment ! Vous en aurez envie et vous vous sentirez encore coupable !

Cet exemple de régime-privation peut être inconscient mais il peut devenir un cercle vicieux que vous répéterez à l'infini. Une fois que vous l'avez identifié, vous pouvez l'arrêter !

Imaginez un monde sans " mauvais " ou " bons " aliments dans lequel il est possible de manger de tous les aliments en quantité raisonnable et vous n'aurez plus à en abandonner certains.

Lorsque vous vous débarasserez de toute culpabilité et de la conception " bons/mauvais " aliments, alors vous vous sentirez libres. Libres de manger et de prendre du plaisir à manger de tout. Adieu culpabilité ! Bienvenue la forme !
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source http://123maigrir.com/

Dépression: 30 minutes d'exercice pour se remonter le moral


Une demi-heure de marche à vive allure améliore rapidement le moral des personnes déprimées, selon une nouvelle étude, leur offrant la même stimulation instantanée qu'ils pourraient rechercher avec des cigarettes, du café ou encore une consommation compulsive de nourriture.

Selon des chercheurs de l'Université du Texas à Austin, les déprimés qui marchent sur un tapis de jogging pendant simplement une demi-heure se sentent en meilleure condition physique et psychologique pendant au moins une heure après avoir terminé leur exercice.Leurs travaux sont publiés dans le numéro de décembre du journal "Medicine and Science in Sports and Exercise".

L'étude financée par Future Search Trials, une entreprise de recherche médicale basée à Austin, portait sur 40 personnes âgées de 18 à 55 ans. Toutes ont récemment souffert d'une dépression importante, aucune ne prenant de traitement antidépresseur, ni ne faisant de sport.

Les patients ont été répartis en deux groupes. Vingt personnes ont été désignées pour faire de l'exercice pendant 30 minutes, pendant qu'on demandait aux vingt autres de rester assises tranquillement pendant la même période. Ils étaient examinés cinq minutes avant la séance et cinq, 30 et 60 minutes après.

Les patients des deux groupes ont tous fait état d'une diminution de leurs sentiments négatifs, tension, dépression, fatigue, colère... Mais seul le groupe qui avait fait de l'exercice a déclaré s'être senti bien après la séance.

Selon John Bartholomew, chef de l'équipe de chercheurs, cette étude vient confirmer d'autres travaux, qui ont déjà montré les effets bénéfiques de l'exercice physique, accompagné d'un traitement et d'un suivi psychologique, pour aider les gens à sortir d'une dépression.
Toutefois, l'étude fait partie des premières à avoir démontré que l'exercice peut avoir un effet bénéfique immédiat.

"Ce n'est ni quelque chose que vous devez faire pendant dix semaines, ni que vous devez faire avec intensité", a déclaré ce spécialiste, professeur associé de kinésiologie et d'éducation à la santé. "Vous pouvez en tirer un bénéfice immédiat et j'espère que c'est le genre de chose qui motivera suffisamment les gens pour qu'ils continuent à le faire".

L'étude souligne que les gens déprimés combattant leur mal à coups de cigarettes, de café ou de crises de boulimie, tirent le même bénéfice de la pratique d'un exercice. Mais les experts notent qu'il est bien difficile de modifier les mauvaises habitudes et déjà ardu de faire faire du sport à des gens bien portants...

Reste que pour les gens souffrant de dépressions légères ou modérées, l'exercice peut diminuer le sentiments d'abandon ou d'isolement, estime le Dr Erik Nelson, professeur assistant de psychiatrie clinique au Collège de médecine de l'Université du Cincinnati.

"Les gens ne devraient pas avoir le sentiment que la seule chose qu'ils puissent faire, c'est de prendre leurs médicaments et attendre de se sentir mieux. Ce genre d'études montre qu'il y a des choses à faire pour soi-même sur le court terme".
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http://sante.sympatico.msn.ca

lundi, février 27, 2006

Retrouver son intégrité



Ces considérations pourront sembler superficielles ou anodines à certains, mais elles ne le sont pas du tout. Car chacune de ces petites victoires fait partie d’un processus qui consiste à retrouver non seulement son intégrité physique, mais aussi des aspects de sa personnalité enfouis souvent pendant des années sous les complexes et l’embonpoint. Chacune de ces petites victoires est une manière de prendre le risque de renaître à la vie. De ressentir de nouveau certaines émotions avec acuité. C’est comme le plaisir de la séduction. Banal, me direz-vous, la séduction. Tout juste bonne pour nos adolescents… Mais pour une personne qui a vaincu l’obésité, oser soutenir le regard flatteur d’un homme ou d’une femme qui vous exprime ainsi son attirance et son appréciation, c’est réussir à éloigner le mal de vivre et l’exclusion, c’est accepter d’être de nouveau un être humain à part entière, pas un pur intellect… Durant toutes ces années où on traîne un excès de poids, on s'habitue à être comme transparente et om oublit le petit velours que cause la gentille œillade à peine flirt d’un bel inconnu croisé sur la rue. Ou le commentaire ému d’une ex-flamme devenue un ami qui vous serre dans ses bras en disant combien il vous trouve mignonne et rayonnante avec tous ces kilos en moins et ce sourire nouveau sur votre visage… Ah!!! Retrouver sa féminité… Un autre risque enfin assumé… Chose certaine, il s’agit d’autant de victoires à l’arraché ; pas de banalités…
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extrait de
http://lesoleil.cyberpresse.ca/journal/2004/09/12/sante/02189_oui_ca_change_le_monde.php

mercredi, février 22, 2006

Aliments à calories négatives

Existe-t-il des aliments qui brûlent le gras corporel? Si oui, comment est-ce possible? Il serait donc possible de perdre du poids en ne consommant que ces aliments. Quels sont ces aliments?
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Les aliments qui brûlent le gras sont des aliments qui requièrent plus de calories pour les digérer que le nombre de calories qu'ils apportent lors de leur consommation. Il y a également certains aliments qui brûlent plus de gras que le nombre de calories qu'ils apportent à l'organisme. Ces calories sont plus difficilement extraites par le système digestif, donc par conséquent, le corps doit travailler plus fort et plus longuement pour les obtenir. Par exemple, un morceau de dessert de 400 calories peut ne demander au corps que 150 calories pour le digérer ce qui résulte en un gain net de 250 calories que le corps stockera sous forme de gras corporel. Toutefois, si vous mangez un aliment contenant 100 calories mais que le corps doit en dépenser 150 pour le digérer, vous aurez donc brûler 50 calories additionnelles simplement en mangeant cet aliment. Typiquement, un morceau de 100 grammes de brocoli n'apporte que 25 calories mais le corps doit en dépenser 80 pour le digérer. Vous venez donc de brûler 55 calories additionnelles provenant de votre gras corporel.
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Ces aliments sont donc appelés des aliments à calories négatives et sont des aliments végétaux naturels. Les fruits riches en vitamine C tels que la lime, le citron, les oranges, le pamplemousse et la tangerine, ont des propriétés pour brûler plus de gras.
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D'autres aliments à calories négatives sont les asperges, l'ail, la betterave, le brocoli, le chou, la carotte, le céleri, le chou fleur, le concombre, les pommes, les bleuets, la laitue, les oignons, la mangue, la papaye, l'ananas, les épinards, le navet, les zucchinis, le melon d'eau, et beaucoup d'autres. Si vous consommez ces aliments et que vous faites de l'exercice, votre métabolisme va augmenter et vous brûlerez donc des calories à un rythme plus élevé pour plusieurs heures après votre séance d'exercice.
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Une étude récente rapporte que le calcium contenu dans les produits laitiers peuvent aussi augmenter votre perte de poids en augmentant la dissolution des cellules de gras. En comparant une alimentation riche en produits laitiers avec une alimentation pauvre en produits laitiers, la perte de poids et de gras avec l'alimentation riche en produits laitiers est presque du double pour le même nombre de calories ingérées.
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Toutefois, si vous ne mangez pas suffisamment en ayant un régime alimentaire hypocalorique trop restrictif, vous allez ralentir votre métabolisme et détériorer votre santé. Pour perdre du poids, vous devez brûler plus de calories que vous en ingérez. Vous pouvez donc y arriver en incorporant plus d'aliments à calories négatives dans votre alimentation, vous aidant ainsi à brûler le gras corporel accumulé.
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traduction libre
sources

lundi, février 20, 2006

Le défi santé 5/30


Avez-vous entendu parler du défi santé 5/30?
Voici en quoi ça consiste...
LE DÉFI SANTÉ 5/30 invite tous les Québécoises et Québécois à entreprendre une démarche afin d'atteindre 2 objectifs clés pour leur santé:
  • Manger au moins «5» portions de fruits et légumes la plupart des jours
    (au minimum 5 jours sur 7)
  • Être physiquement actif au moins «30» minutes la plupart des jours
    (au minimum 5 jours sur 7)

Pourquoi le «5» et le «30»?

Quand bien même ils ne constituent pas les seules stratégies pour améliorer sa santé, les objectifs «5» et «30», s’ils sont atteints, sont déjà susceptibles d’avoir sur elle un impact important à long terme. Et à plus grande échelle, un impact à long terme sur la santé de la population. Surtout si on considère que plus de la moitié des Québécoises et des Québécois n’atteignent pas ces objectifs! On pourrait donc faire mieux… et faire des gains santé importants dans la Belle Province!
Les experts s’entendent pour dire que «bien manger» devrait bien sûr inclure plus de fruits et de légumes, mais également plus de produits céréaliers à grains entiers et de poisson, de produits laitiers et de viande maigre, de bons gras... Mais comme on ne peut pas tout changer à la fois, l’équipe du Défi propose l’objectif nutrition «au moins 5 portions de fruits et légumes la plupart des jours», une habitude assez facile à acquérir, accessible à tous et liée à une foule d’avantages santé. Côté activité physique, le «30» représente pour les adultes un excellent premier pas pour adopter un style de vie plus actif.

Ça vous tente... vous voulez relever le défi? Allez vous inscrire sur le site du défi http://defisante530.ca/2006/inscription/recherche/ avant le 1er mars 2006.

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source http://defisante530.ca/2006/inscription/recherche/

samedi, février 18, 2006

Vitesse de marche et calories brûlées


Voici une formule simple que vous pouvez utiliser pour calculer le nombre de calories que vous brûlez, selon votre poids et la vitesse à laquelle vous marchez.

5.0 km/h (1 km en 12 minutes) brûle .027 calorie / lb / minute
5.8 km/h (1 km en 10 minutes) brûle .033 calorie / lb / minute
6.6 km/h (1 km en 09 minutes) brûle .042 calorie / lb / minute
7.5 km/h (1 km en 08 minutes) brûle .047 calorie / lb / minute

Voici un exemple : si vous pesez 200 lbs (91 kg) et que vous marchez à une vitesse de 5 km/h (1 km en 12 minutes) pendant 60 minutes, vous multipliez 200 par .027, et ensuite, vous multipliez ce résultat (5.4) par 60. Vous obtenez un total de 324 calories. (pour transformer les kilos en lbs, un kilo égale 2.2 lbs,)

Maintenant vous vous dites que 324 calories c’est peu pour les efforts que vous avez déployé, mais la bonne nouvelle est… vous aurez augmenté votre métabolisme basal, et vous continuerez donc à brûler plus de calories durant les heures suivant votre marche!

De plus, considérez marcher un peu plus rapidement. Voici les calories brûlées par la même personne de 200 lbs (91 kg), mais à des vitesses de marche différentes :

5.0 km/h durant 60 min = 324 calories brûlées
5.8 km/h durant 60 min = 396 calories brûlées
6.6 km/h durant 60 min = 396 calories brûlées
7.5 km/h durant 60 min = 396 calories brûlées

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provenance Forum maigrir aujourd'hui et pour toujours